bonjour
je m'en remets a votre aide pour mon projet de création d'une nouvelle piece dans la grange attenante a ma maison
sutout pour un point pour commencer
voila le projet: une piece de 50m² (8m long x 6.5m de large)
des murs de 3.1m d'un coté (ceux de 8m de long) et les deux autres de 3.1m a 4.5m au pignon (donc ceux de 6.5m de long).
j'aurai aimer isoler sous rampant afin de conserver les deux fermes apparentes mais pour des raisons d'economie de chauffage je prefere créer un plafond sous les poutres a savoir a 2.8m.
par contre je ne sais pas comment m'y prendre car mettre des fourrures qui au centre seront a pres de 2 metre du pignon ne me semble pas realisable.suis je donc obligé de créer un solivage? je precise tout de meme que la partie au dessus de ce plafond sera juste isoler avec de la laine de 240/260 et ne me servira absolument pas de grenier car je n'en ai pas l'utilité ayant encore 120m² de grange a disposition, ce sera donc des "combles perdues".
merci de votre aide
creation plafond
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matheysinus
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plafond
bonjour caddyman
Il est évident qu'il faut créer un solivage - mais 6.50 m de portée c'est beaucoup
Je serai tenté de scinder la longueur de 8 m en 3 parties, avec des poutres donc de 6.50m + 2 X appuis de 0.20m en lamellé collé ou reconstituées, tel:
http://www.jonckheere.wood.be/fr/html/plan.htm - c'est un produit Belge, je crois qu'il existe des équivalents en France mais je ne connais pas les coordonées
Entre ces poutres il me restera une portée d'environ 8 / 3 = 2.70 m, ce qui me fera des solivettes 6 X 18 espacées de 50 cm
Vis à vis de la résistance on pourrait descendre un module en dessous, mais ce serait à mon sens une petite économie mal placée
Il est évident qu'il faut créer un solivage - mais 6.50 m de portée c'est beaucoup
Je serai tenté de scinder la longueur de 8 m en 3 parties, avec des poutres donc de 6.50m + 2 X appuis de 0.20m en lamellé collé ou reconstituées, tel:
http://www.jonckheere.wood.be/fr/html/plan.htm - c'est un produit Belge, je crois qu'il existe des équivalents en France mais je ne connais pas les coordonées
Entre ces poutres il me restera une portée d'environ 8 / 3 = 2.70 m, ce qui me fera des solivettes 6 X 18 espacées de 50 cm
Vis à vis de la résistance on pourrait descendre un module en dessous, mais ce serait à mon sens une petite économie mal placée
Avec le temps et la patience, la feuille de murier devient soie
bonjour merci de votre reponse
je tiens a reprecisé que le plafond ne me servira absolument pas de grenier ni de plancher mais juste de plafond aussi ta solution me semble surdimensionné dans mon cas non?
Serait il possible de venir fixer des lambourdes aux chevrons de la charpente afin de créer un "cadre" me permettant d'un coup d' abaisser le volume de la piece, d'accueillir mon isolant et egalement les suspentes pour fixer mes fourrures et mon placo
merci
je tiens a reprecisé que le plafond ne me servira absolument pas de grenier ni de plancher mais juste de plafond aussi ta solution me semble surdimensionné dans mon cas non?
Serait il possible de venir fixer des lambourdes aux chevrons de la charpente afin de créer un "cadre" me permettant d'un coup d' abaisser le volume de la piece, d'accueillir mon isolant et egalement les suspentes pour fixer mes fourrures et mon placo
merci
-
matheysinus
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plafond
je suis toujours sceptique devant les planchers "non accessibles"
Il y a toujours un accés au moins technique (interventions sur la charpente, passage de canalisations) et qui sait un jour ?????
Il n'est pas recommandé de fixer une structure aux chevrons (tout au plus un isolant)
d'une part ils ne sont pas dimensionnés pour cela et d'autres part pensez que ce sont des pièces vulnérables (dégradation suite à une fuite dans la toiture par exemple), si pour changer ou réparer un chevron il faut démonter la moitié de la maison.....
Pensez également que votre couverture n'est pas éternelle, surtout s'il s'agit d'un vieux bâtiment, il faudra alors peut être reprendre le littelage et toucher aux chevrons
je considère que quand on construit, ou aménage, c'est fait pour durer 50 ans au moins.....c'est une philosophie personnelle
je sais bien qu'aujoud'hui on fait des charpentes en allumettes qui assurent plus de moitié des fonctions de la structure dun bâtiment....
Il y a toujours un accés au moins technique (interventions sur la charpente, passage de canalisations) et qui sait un jour ?????
Il n'est pas recommandé de fixer une structure aux chevrons (tout au plus un isolant)
d'une part ils ne sont pas dimensionnés pour cela et d'autres part pensez que ce sont des pièces vulnérables (dégradation suite à une fuite dans la toiture par exemple), si pour changer ou réparer un chevron il faut démonter la moitié de la maison.....
Pensez également que votre couverture n'est pas éternelle, surtout s'il s'agit d'un vieux bâtiment, il faudra alors peut être reprendre le littelage et toucher aux chevrons
je considère que quand on construit, ou aménage, c'est fait pour durer 50 ans au moins.....c'est une philosophie personnelle
je sais bien qu'aujoud'hui on fait des charpentes en allumettes qui assurent plus de moitié des fonctions de la structure dun bâtiment....
Avec le temps et la patience, la feuille de murier devient soie
Re: plafond
Bonjour.
Je suis en partie d'accord avec ce que matheysinus, que je salue au passage, expose ci-dessus mais j'aimerais toutefois faire les remarques suivantes :
- il n'y a pas systématiquement un accès aux combles dans les constructions neuves. J'ai vu bon nombre de maisons n'en possédant pas et où l'isolation des combles se faisait par injection, en soulevant les tuiles, d'un flocage de laine de roche. Dans ce cas, il est évident, ainsi que le signale matheysinus, qu'en cas d'incident, il faut déposer une partie des tuiles pour toute intervention.
- pour ce qui est des charpentes, elles subissent les mêmes critiques que toute innovation technique. On a longtemps décrié l'utilisation du placoplâtre qui est maintenant couramment utilisé avec tous les avantages que cela comporte. Il en est de même pour les charpentes en fermettes dont la robustesse n'est pas à mettre en cause dans la mesure où les bois employés pour leur fabrication sont de bonne qualité et qu'ils ont subi un traitement approprié.
Mais chaque méthode nouvelle et tout progrès a ses partisans et ses détracteurs. Que l'on se souvienne des critiques qu'à entraîné l'apparition du train, de l'électricité, du téléphone, du four à micro-ondes, j'en passe et des meilleures
Je suis en partie d'accord avec ce que matheysinus, que je salue au passage, expose ci-dessus mais j'aimerais toutefois faire les remarques suivantes :
- il n'y a pas systématiquement un accès aux combles dans les constructions neuves. J'ai vu bon nombre de maisons n'en possédant pas et où l'isolation des combles se faisait par injection, en soulevant les tuiles, d'un flocage de laine de roche. Dans ce cas, il est évident, ainsi que le signale matheysinus, qu'en cas d'incident, il faut déposer une partie des tuiles pour toute intervention.
- pour ce qui est des charpentes, elles subissent les mêmes critiques que toute innovation technique. On a longtemps décrié l'utilisation du placoplâtre qui est maintenant couramment utilisé avec tous les avantages que cela comporte. Il en est de même pour les charpentes en fermettes dont la robustesse n'est pas à mettre en cause dans la mesure où les bois employés pour leur fabrication sont de bonne qualité et qu'ils ont subi un traitement approprié.
Mais chaque méthode nouvelle et tout progrès a ses partisans et ses détracteurs. Que l'on se souvienne des critiques qu'à entraîné l'apparition du train, de l'électricité, du téléphone, du four à micro-ondes, j'en passe et des meilleures
La différence entre le génie et la bêtise, c'est que le génie a ses limites
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matheysinus
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construction et qualité
Merci Walter de ce point de vue, et amicales salutations au passage
On a aussi connu l'amiante ciment (on faisait tout ou presque avec)
pour les fermettes, je constate que les recommandations du CSBTP (Centre Scientifique du Bâtiment et des Travaux Publics) sont rarement respectées dans le domaine du pavillonnaire (épaisseur minimum des composants (=tenue au feu), connecteurs en inox (on utilise la plus part du temps des connecteurs galvanisés à 40 microns = 20 à 30 ans de durée de vie avant oxydation), ancrage dans les maçonnerie (=tenue au vent)
Je ne parlerai pas des surcharges de neige qui sont appliquées avec certaines "libertés"
comme le disait un fameux comique:"vous remboursez pendant 25 ans, dans 25 ans vous serez propriétaire des ruines"
On a aussi connu l'amiante ciment (on faisait tout ou presque avec)
pour les fermettes, je constate que les recommandations du CSBTP (Centre Scientifique du Bâtiment et des Travaux Publics) sont rarement respectées dans le domaine du pavillonnaire (épaisseur minimum des composants (=tenue au feu), connecteurs en inox (on utilise la plus part du temps des connecteurs galvanisés à 40 microns = 20 à 30 ans de durée de vie avant oxydation), ancrage dans les maçonnerie (=tenue au vent)
Je ne parlerai pas des surcharges de neige qui sont appliquées avec certaines "libertés"
comme le disait un fameux comique:"vous remboursez pendant 25 ans, dans 25 ans vous serez propriétaire des ruines"
Avec le temps et la patience, la feuille de murier devient soie
