bonjour,
je me suis lancer pour ma fille, à entreprendre de lui repeindre son plafond (60 m2), mais cela ne se passe pas très bien.
j'ai d'abord bien essuyer au chiffon celui-ci n'étant pas du tout abimé
J'ai ensuite passer au rouleau 2 couches d'acrylique dulux valentine creme prestige. Résultat énormement de reprise de rouleau (très décevant)
Suite à conseil j'ai passé une peinture aux résines alkides en solution,
résultat toujours identique.
j'en suis a me demander ce qu'il faut faire ?
suis-je obliger d'en venir à poncer ce plafond, pour partir directement avec une bonne glycero(et laquelle) et dois je mettre une sous couche d'accrochage avant.
Vu la grandeur du plaond, comprener que je me pose des questions.
Merci d'avance pour tous vos bons conseils.
Amicalement
reprise sur plafond
Bonjour,
Vous avez le choix entre un ponçage et l'application d'un enduit qu'il faudra tout de même poncer. Puis une couche de peinture d'impression et une finition mate ou satinée.
60 M2 sans expérience et seul, c'est un peu de la folie.
Même avec de la glycéro.
Vous avez le choix entre un ponçage et l'application d'un enduit qu'il faudra tout de même poncer. Puis une couche de peinture d'impression et une finition mate ou satinée.
60 M2 sans expérience et seul, c'est un peu de la folie.

Même avec de la glycéro.
Nettoyer c'est bien , ne pas salir c'est mieux!
Bonjour Bost,
Votre sujet m'interpelle car j'ai exactement le même problème que vous mais sur... 22m2 de plafond, ce qui fait déjà beaucoup pour un néophyte comme moi !
Les peintures monocouches acryliques, glyceros en phase aqueuse (alkydes) ou glyceros en phase solvant (white spirit) que l'on achète en GSB ne sont pas adaptées à ce type de travail. Il faut prendre des impressions et peintures professionnelles, genre Renaulac, Levis, Sikkens, Seigneurie ou Zolpan, que l'on achète en magasin spécialisé.
Cela dit, même avec ce type de peinture, ça reste très difficile d'éviter les reprises car il faut peindre bien et très vite (pour info, mon plafond de 22m2 devrait être peint en moins d'une heure, impossible pour moi, c'est pourquoi je fais appel à un professionnel qui va me le faire, après ponçage intégral).
Donc sur 60m2, ça me semble infaisable pour nous amateurs, outre le temps limité (ne pas dépasser la durée du "sec au toucher" pour l'intégralité du plafond), il y au aussi la "gymnastique" des carrés à appliquer dans un ordre judicieux pour limiter les reprises, donc sur les grands plafonds on travaille en diagonales alternées et non plus en ligne ou en colonne, c'est compliqué...
Le pistolet basse pression, j'ai essayé (Wagner 600), ça nécessite aussi de l'habitude, mon résultat était assez moyen, avec soit des paquets qui gouttent, soit une brume insuffisamment couvrante. De plus, la difficulté supplémentaire est le masquage intégral (et parfait) du chantier, car la brume de peinture en suspension se dépose absolument partout (y compris sur les besicles de votre serviteur, qui non content d'être un peintre du dimanche est bigleux
), c'est traître !
Aussi : après plusieurs couches ratées avec des monocouches, on a généralement un grain assez marqué qui nécessite un bon ponçage, voire effectivement un réenduisage pour retrouver la finition type "peau d'orange" après tendu. A déterminer après ponçage, si on trouve que ce n'est pas assez lisse...
Donc mon conseil honnête et (absolument) désintéressé est que pour 60m2, vous fassiez appel à un professionnel, car sinon vous allez, tout comme je l'ai fait, multiplier les tentatives (coût = votre temps + fournitures + aggravation du ponçage ultérieur) pour finalement appeler au secours un vrai peintre ! J'ai eu la honte de ma vie de devoir appeler un peintre (devant ma femme !), mais il a bien fallu le faire pour arrêter le massacre.
Dans tous les cas, bon courage et sachez que je suis de tout coeur avec vous, connaissant bien la solitude du peintre amateur devant son ouvrage...
Cordialement,
Yves
Votre sujet m'interpelle car j'ai exactement le même problème que vous mais sur... 22m2 de plafond, ce qui fait déjà beaucoup pour un néophyte comme moi !
Les peintures monocouches acryliques, glyceros en phase aqueuse (alkydes) ou glyceros en phase solvant (white spirit) que l'on achète en GSB ne sont pas adaptées à ce type de travail. Il faut prendre des impressions et peintures professionnelles, genre Renaulac, Levis, Sikkens, Seigneurie ou Zolpan, que l'on achète en magasin spécialisé.
Cela dit, même avec ce type de peinture, ça reste très difficile d'éviter les reprises car il faut peindre bien et très vite (pour info, mon plafond de 22m2 devrait être peint en moins d'une heure, impossible pour moi, c'est pourquoi je fais appel à un professionnel qui va me le faire, après ponçage intégral).
Donc sur 60m2, ça me semble infaisable pour nous amateurs, outre le temps limité (ne pas dépasser la durée du "sec au toucher" pour l'intégralité du plafond), il y au aussi la "gymnastique" des carrés à appliquer dans un ordre judicieux pour limiter les reprises, donc sur les grands plafonds on travaille en diagonales alternées et non plus en ligne ou en colonne, c'est compliqué...
Le pistolet basse pression, j'ai essayé (Wagner 600), ça nécessite aussi de l'habitude, mon résultat était assez moyen, avec soit des paquets qui gouttent, soit une brume insuffisamment couvrante. De plus, la difficulté supplémentaire est le masquage intégral (et parfait) du chantier, car la brume de peinture en suspension se dépose absolument partout (y compris sur les besicles de votre serviteur, qui non content d'être un peintre du dimanche est bigleux

Aussi : après plusieurs couches ratées avec des monocouches, on a généralement un grain assez marqué qui nécessite un bon ponçage, voire effectivement un réenduisage pour retrouver la finition type "peau d'orange" après tendu. A déterminer après ponçage, si on trouve que ce n'est pas assez lisse...
Donc mon conseil honnête et (absolument) désintéressé est que pour 60m2, vous fassiez appel à un professionnel, car sinon vous allez, tout comme je l'ai fait, multiplier les tentatives (coût = votre temps + fournitures + aggravation du ponçage ultérieur) pour finalement appeler au secours un vrai peintre ! J'ai eu la honte de ma vie de devoir appeler un peintre (devant ma femme !), mais il a bien fallu le faire pour arrêter le massacre.
Dans tous les cas, bon courage et sachez que je suis de tout coeur avec vous, connaissant bien la solitude du peintre amateur devant son ouvrage...
Cordialement,
Yves