Les maladies des arbres fruitiers: comment sauvegarder le pê
Les maladies des arbres fruitiers: comment sauvegarder le pê
Comment ne pas envier les plus chanceux qui peuvent profiter, à l'intérieur de leurs espaces verts, d'un beau pêcher duquel cueillir les fruits, en redécouvrant ainsi les plaisirs de la vie bucolique et les saveurs désormais oubliées? Ces arbres fruitiers, originaires de la Perse mais qui se développe spontanément aussi en Extrême-Orient, sont connus justement pour leurs fruits d'été juteux et leurs merveilleuses fleurs roses. Parfois, cependant, les maladies des arbres fruitiers sont menaçantes, et risquent de devenir un problème aussi bien pour la santé des plantes en général, que pour les fruits qui sont irrémédiablement endommagés. Comment reconnaître les maladies des pêchers et surtout comment les défendre des adversités, en sauvegardant ainsi tout le verger? Les principaux responsables qui minent la santé et l'intégrité des fleurs et plantes, ainsi que celle des fruits, sont justement les insectes: parmi les plus fameux (et qui d'habitude infectent aussi les autres plantes de jardin) nous pouvons rappeler les aphidiens (bruns, noirs et verts) – qui provoquent les typiques taches sur les plantes -, les cochenilles – qui ont tendance à perforer la lame de bois, en y suçant la lymphe contenue – et certains lépidoptères comme les mites. Ces dernières sont particulièrement agressives puisqu'elles attaquent soit les bourgeons (à l'intérieur desquels elles déposent leurs œufs, en les faisant flétrir), soit les fruits : en effet, les jeunes larves creusent à l'intérieur du fruit en arrivant même jusqu'au noyau, en suçant toute la pulpe de la pêche dont elles sont friandes. Pour ce qui concerne ces insectes, il faudra s'activer en achetant les antiparasitaires appropriés et disponibles dans le commerce. D'autres maladies des plantes, cependant, se révèlent tout aussi menaçantes: c'est le cas de la “cloque du pêcher ”, causée par un champignon qui attaque les fleurs et les fruits en en provoquant une très grave déformation. Pour prévenir ce problème il est conseillé d'agir début novembre à travers des dimethyldithiocarbamates, des produits chimiques à utiliser en deux traitements spécifiques et qui termineront à la fin de l’hiver.
Bonsoir,
La "cloque du pêcher" :
- Se traduit surtout par des boursouflures brunes sur les FEUILLES, qui dépérissent et tombent;
- Se soigne tout simplement avec de la "bouillie bordelaise" (composés aqueux de soufre, plus exactement du sulfate de cuivre).
C'est tout !
La "cloque du pêcher" :
- Se traduit surtout par des boursouflures brunes sur les FEUILLES, qui dépérissent et tombent;
- Se soigne tout simplement avec de la "bouillie bordelaise" (composés aqueux de soufre, plus exactement du sulfate de cuivre).
C'est tout !
ne pas monter bien haut, peut être ... mais tout seul !
