J'emménage dans un appartement dont le sol vient juste d'être vitrifié (24h avant l'état des lieux, apparemment ils avaient du retard sur les travaux...). L'odeur très forte au début (cela piquait les yeux) s'est atténuée pour atteindre un seuil à peine plus acceptable. Voilà trois jours que l'on aère et les émanations nocives « disparaissent » à un rythme très très lent. Nous sommes très inquiet : nous dormons et vivons pour le moment dans l'ancien appartement que l'on a encore pendant 4 jours.
Je pense que la société en question a du faire des économies en utilisant un vitrificateur urée-formol de qualité discutable. Aujourd'hui l'emploi de ce vitrificateur est abandonné pour les habitations au profit d'autres sans odeurs ni émanations.
Aussi compte tenu du risque sanitaire que risque ma famille (irritations, problèmes respiratoires, ...les problèmes dûs au formol sont légion...), quels sont les démarches à effectuer (et recours) auprès de l'entreprise de location afin de :
1- sursoir/baisser le paiement puisque je ne peux jouir de ce bien de façon normale
2- organiser mon re-logement provisoire en attendant la disparition totale de ce qui m'apparait être du formaldéide (ou autre composé volatile nocif).
En cas de litige, que faire? J'ai un enfant en bas âge (2 ans) aussi c'est très urgent de trouver une solution.
Merci pour votre aide précieuse.
vitrification urée formol = au secours!!!
J'ai utilisé (dans le temps) ce genre de vitrificateur : effectivement, il fallait attendre 4 jours d'aération complète pour que l'odeur (avec des émanations suffocantes au début) disparaisse complètement.
Mais le produit utilisé m'a donné ensuite entière satisfaction à l'usge.
Dans votre cas (qui me semble effectivement anormal du fait de sa persistance), vous pouvez prévenir immédiatement le service d'hygiène de la mairie de résidence.
Vous pouvez aussi, probablement à vos frais, faire exécuter un constat officiel par un huissier afin de servir de preuve pour toute suite juridique à donner ...
Mais êtes-vous la seule famille dans cet immeuble qui soit concernée par cette situation ? Si oui, que font les autres ?
Avez-vous prévenu et convoqué in-situ le responsable de cet état de fait ?
Il y a peut-être une solution amiable (quelques jours d'attente à l'hôtel aux frais du responsable par exemple) qui éviterait un recours pouvant aller jusqu'en justice, dont l'issue favorable pour vous ne serait pas acquise d'office ?
Vous pouvez aussi demander l'avis d'un conseiller juridique, il y en a dans presque toutes les communes (interrogez la mairie) ... et c'est généralement gratuit (tout au moins la 1ère fois).
Mais le produit utilisé m'a donné ensuite entière satisfaction à l'usge.
Dans votre cas (qui me semble effectivement anormal du fait de sa persistance), vous pouvez prévenir immédiatement le service d'hygiène de la mairie de résidence.
Vous pouvez aussi, probablement à vos frais, faire exécuter un constat officiel par un huissier afin de servir de preuve pour toute suite juridique à donner ...
Mais êtes-vous la seule famille dans cet immeuble qui soit concernée par cette situation ? Si oui, que font les autres ?
Avez-vous prévenu et convoqué in-situ le responsable de cet état de fait ?
Il y a peut-être une solution amiable (quelques jours d'attente à l'hôtel aux frais du responsable par exemple) qui éviterait un recours pouvant aller jusqu'en justice, dont l'issue favorable pour vous ne serait pas acquise d'office ?
Vous pouvez aussi demander l'avis d'un conseiller juridique, il y en a dans presque toutes les communes (interrogez la mairie) ... et c'est généralement gratuit (tout au moins la 1ère fois).
ne pas monter bien haut, peut être ... mais tout seul !
si tu es du 75 (d'après ton pseudo), tu peux éventuellement téléphoner au laboratoire d'hygiène de la ville de paris (LHVP) qui pourrait éventuellement te conseiller voire réaliser une mesure de formaldéhyde (petit tube placé pendant 48h dans ton logement, normallement pas cher du tout).
avec un enfant en bas âge, tant que le seuil dépasse mettons 100 µg/m3, moi je n'y vais pas. ensuite, il faut rapidement que ça descende vers les 20 pour être parfaitement tranquille.
avec un enfant en bas âge, tant que le seuil dépasse mettons 100 µg/m3, moi je n'y vais pas. ensuite, il faut rapidement que ça descende vers les 20 pour être parfaitement tranquille.