poêle à bois et ventilateur...
poêle à bois et ventilateur...
Bonjour à tous,
Après une recherche vaine sur le forum, j 'ouvre un nouveau sujet en espérant me faire comprendre.
J'habite une maison des années 70. Construction classique de cette époque: maison cube avec un étage et mal isolée dans un premier temps. Le chauffage, au gaz de ville, est néammoins performant mais consommateur.
Les principales pièces de vie sont situées à l'étage, notamment le salon/salle à manger. C'est une pièce de 30m² environ avec une cheminée qui ne chauffe pas bien et dont le tirage est perfectible.
Après des travaux d'isolation corrects, laine de verre au grenier (40cm) et remplacement de toutes les fenêtres en bois simples vitrages par des ouvertures PVC complètement aux normes, il s'avère que ma cheminée est désormais inutilisable: elle fume désormais trop pour s'en servir et nul doute que l'installation des nouvelles fenêtres en est la cause. La pièce est trop "hermétique".
Après conseils auprès de spécialistes apparemment compétents, j'envisage l'installation d'un poêle à bois dans cette cheminée. Evidemment, je compte créer une bouche d'aération pour assurer un apport d'air suffisant pour:
1) permettre un apport correct pour la combustion
2) éviter le fameux monoxyde de carbone
L'idée du poêle à bois est de permettre un rendement suffisant pour utiliser la cheminée comme complément de chauffage et de satisfaire mon envie du feu.
Mais j'ai peur d'avoir trop chaud à proximité du poêle!
Question:
1) La mise en place d'un ventilateur de plafond est -elle une solution crédible pour créer un mouvement d'air suffisant pour rabattre la chaleur au sol et l'homogénéïser dans la pièce et, éventuellement dans les pièces voisines?
2) Cela peut-il "réguler" la température à 2/3 mètres du poêle pour permettre d'y séjourner sans cuire?
3) Dois-je m'arrêter sur un type de ventilo particulier en terme de taille des pales, hauteur sous plafond, vitesse de rotation pour que cette solution ait une efficacité?
Après une recherche vaine sur le forum, j 'ouvre un nouveau sujet en espérant me faire comprendre.
J'habite une maison des années 70. Construction classique de cette époque: maison cube avec un étage et mal isolée dans un premier temps. Le chauffage, au gaz de ville, est néammoins performant mais consommateur.
Les principales pièces de vie sont situées à l'étage, notamment le salon/salle à manger. C'est une pièce de 30m² environ avec une cheminée qui ne chauffe pas bien et dont le tirage est perfectible.
Après des travaux d'isolation corrects, laine de verre au grenier (40cm) et remplacement de toutes les fenêtres en bois simples vitrages par des ouvertures PVC complètement aux normes, il s'avère que ma cheminée est désormais inutilisable: elle fume désormais trop pour s'en servir et nul doute que l'installation des nouvelles fenêtres en est la cause. La pièce est trop "hermétique".
Après conseils auprès de spécialistes apparemment compétents, j'envisage l'installation d'un poêle à bois dans cette cheminée. Evidemment, je compte créer une bouche d'aération pour assurer un apport d'air suffisant pour:
1) permettre un apport correct pour la combustion
2) éviter le fameux monoxyde de carbone
L'idée du poêle à bois est de permettre un rendement suffisant pour utiliser la cheminée comme complément de chauffage et de satisfaire mon envie du feu.
Mais j'ai peur d'avoir trop chaud à proximité du poêle!
Question:
1) La mise en place d'un ventilateur de plafond est -elle une solution crédible pour créer un mouvement d'air suffisant pour rabattre la chaleur au sol et l'homogénéïser dans la pièce et, éventuellement dans les pièces voisines?
2) Cela peut-il "réguler" la température à 2/3 mètres du poêle pour permettre d'y séjourner sans cuire?
3) Dois-je m'arrêter sur un type de ventilo particulier en terme de taille des pales, hauteur sous plafond, vitesse de rotation pour que cette solution ait une efficacité?
"Le presbytère n'a rien perdu de son charme ni le jardin de son éclat." Gaston LEROUX
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poele à bois
bonjour bowish
du point de vue rendement, confort, un poêle à bois n'a rien à voir avec une cheminée type "chauffe moineaux"
vous verrez rapidement la différence
votre poêle chauffera par radiation et par convection, il est bien certain que plus vous en serez prés, plus vous aurez chaud.....
la solution du ventilateur de plafond pour rabattre l'air chaud vers le bas est envisageable, mais n'en n'attendez pas des miracles.....
les phénomènes de convection dans une pièce sont trés complexes et ne répondent pas à des théories claires et faciles à appréhender
du point de vue rendement, confort, un poêle à bois n'a rien à voir avec une cheminée type "chauffe moineaux"

vous verrez rapidement la différence

votre poêle chauffera par radiation et par convection, il est bien certain que plus vous en serez prés, plus vous aurez chaud.....
la solution du ventilateur de plafond pour rabattre l'air chaud vers le bas est envisageable, mais n'en n'attendez pas des miracles.....

les phénomènes de convection dans une pièce sont trés complexes et ne répondent pas à des théories claires et faciles à appréhender
Avec le temps et la patience, la feuille de murier devient soie
Merci pour votre réponse.
J'ai bien conscience que le poêle à bois va être un plus d'un point de vue du rendement. Ma question portait plus sur une façon "mécanique" de diminuer la sensation de convection naturelle du poêle.
Les dimensions de ma cheminée ne me laisse guère le choix sur le modèle de poêle envisagé. Il s'agira du modèle "Vosges" de chez Supra parce que c'est le seul qui, en rapport qualité/prix, peut rentrer dans le foyer.
Ce modèle ne possède pas de turbine. J'ai donc envisagé la solution du ventilo de plafond pour "distribuer" la chaleur de façon plus homogène et réduire, peut-être, cet effet secondaire dû aux performances de l'objet.
Perso, je ne trouve pas d'autre alternative.
En voyez-vous une autre?
Même si l'avantage peut être minime, est-ce que çà fonctionne?
Puis-je me contenter d'un petit ventilo?
Dois-je, au contraire, me tourner vers un modèle particulier? (taille, puissance....)
Si quelqu'un est équipé de cette façon chez lui, en regard des maigres précisions que j'ai pu donner sur les dimensions de la pièce et de sa configuration; peut-il venir en témoigner?
J'ai bien conscience que le poêle à bois va être un plus d'un point de vue du rendement. Ma question portait plus sur une façon "mécanique" de diminuer la sensation de convection naturelle du poêle.
Les dimensions de ma cheminée ne me laisse guère le choix sur le modèle de poêle envisagé. Il s'agira du modèle "Vosges" de chez Supra parce que c'est le seul qui, en rapport qualité/prix, peut rentrer dans le foyer.
Ce modèle ne possède pas de turbine. J'ai donc envisagé la solution du ventilo de plafond pour "distribuer" la chaleur de façon plus homogène et réduire, peut-être, cet effet secondaire dû aux performances de l'objet.
Perso, je ne trouve pas d'autre alternative.
En voyez-vous une autre?
Même si l'avantage peut être minime, est-ce que çà fonctionne?
Puis-je me contenter d'un petit ventilo?
Dois-je, au contraire, me tourner vers un modèle particulier? (taille, puissance....)
Si quelqu'un est équipé de cette façon chez lui, en regard des maigres précisions que j'ai pu donner sur les dimensions de la pièce et de sa configuration; peut-il venir en témoigner?
"Le presbytère n'a rien perdu de son charme ni le jardin de son éclat." Gaston LEROUX
La radiation ou rayonnement c'est la chaleur qui se propoge par infagouge, comme avec un radiateur du meme nom.
La convection, c'est la chaleur qui se transmet par l'air qui se chauffe. Etant chaud, il monte, suit le plafond et redescent en se refroidissant sur le mur d'en face avant de regagner la source chaude par le sol.
On reproche a la convection (appareils convecteurs) cet effet de courant d'air qui donnerait une impression de froid. Ajouter un ventilateur me semble bizzare...
La convection, c'est la chaleur qui se transmet par l'air qui se chauffe. Etant chaud, il monte, suit le plafond et redescent en se refroidissant sur le mur d'en face avant de regagner la source chaude par le sol.
On reproche a la convection (appareils convecteurs) cet effet de courant d'air qui donnerait une impression de froid. Ajouter un ventilateur me semble bizzare...
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chauffage
radiation = diffusion de la chaleur par rayonnement
le soleil nous chauffe par radiation bien qu'étant à une distance gigantesque, mais l'énergie qu'il émet et aussi gigantesque
la "chaleur" du poêle que vous ressentez à quelques mètres est issue d'une diffusion par radiation
convection = l'air au contact du poêle s'échauffe, s'élève du fait de son augmentation de volume et crée un appel d'air froid au bas, qui a son tour se réchauffera et ainsi tant que le poêle sera chaud
le soleil nous chauffe par radiation bien qu'étant à une distance gigantesque, mais l'énergie qu'il émet et aussi gigantesque
la "chaleur" du poêle que vous ressentez à quelques mètres est issue d'une diffusion par radiation
convection = l'air au contact du poêle s'échauffe, s'élève du fait de son augmentation de volume et crée un appel d'air froid au bas, qui a son tour se réchauffera et ainsi tant que le poêle sera chaud
Avec le temps et la patience, la feuille de murier devient soie
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chauffage
nous nous sommes croisés ms83, pour donner semble t'il la même réponse
je te rejoints pour douter de l'efficacité d'un ventilateur pour améliorr le chauffage, à part remuer la poussière
le chauffage idéal est un systéme de panneaux rayonnants qui diffuse une chaleur uniforme essentiellement par rayonnement - peu de convection = peu de circulation d'air
je te rejoints pour douter de l'efficacité d'un ventilateur pour améliorr le chauffage, à part remuer la poussière

le chauffage idéal est un systéme de panneaux rayonnants qui diffuse une chaleur uniforme essentiellement par rayonnement - peu de convection = peu de circulation d'air
Avec le temps et la patience, la feuille de murier devient soie
Bien! Merci pour vos interventions.
Cependant, et par rapport à vos remarques, vous me confirmez ce que je savais déjà: l'air chaud, moins dense, monte au plafond.
L'aider à en redescendre de façon mécanique avec une ventilation adaptée s'apparente-t 'il à une hérésie?
L'effet escompté est double pour ma part:
1) Accélérer le mouvement naturel des masses d'air
2) atténuer la sensation de chaleur, par rayonnement donc, dû à la proximité de la source.
D'ailleurs, après renseignement sur le net, certains ventilateur de plafond (et même la plupart d'ailleurs) possèdent la double fonction: été/hiver...
Est-ce un leurre, un argument de vente ou une réalité à exploiter?
Cependant, et par rapport à vos remarques, vous me confirmez ce que je savais déjà: l'air chaud, moins dense, monte au plafond.
L'aider à en redescendre de façon mécanique avec une ventilation adaptée s'apparente-t 'il à une hérésie?
L'effet escompté est double pour ma part:
1) Accélérer le mouvement naturel des masses d'air
2) atténuer la sensation de chaleur, par rayonnement donc, dû à la proximité de la source.
D'ailleurs, après renseignement sur le net, certains ventilateur de plafond (et même la plupart d'ailleurs) possèdent la double fonction: été/hiver...
Est-ce un leurre, un argument de vente ou une réalité à exploiter?
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Bonjour,
A mon avis, un ventilateur de plafond amène une sensation de fraîcheur en été du fait qu'il crée un genre de "courant d'air tourbillonnant", lequel accélère l'évaporation de notre sueur et par là diminue légèrement la température superficielle de la partie de notre peau qui est exposée.
A mon avis, un ventilateur de plafond amène une sensation de fraîcheur en été du fait qu'il crée un genre de "courant d'air tourbillonnant", lequel accélère l'évaporation de notre sueur et par là diminue légèrement la température superficielle de la partie de notre peau qui est exposée.
ne pas monter bien haut, peut être ... mais tout seul !
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ventilateur
effectivement tous les ventilateurs de plafond ont 2 sens de rotation
la fonction "rafraichissement" que décrit très bien Totor, que je salue au passage, est plus performante que la fonction "hiver" qui se veux de rabattre vers le bas l'air chaud accumulé au plafond
la fonction "rafraichissement" que décrit très bien Totor, que je salue au passage, est plus performante que la fonction "hiver" qui se veux de rabattre vers le bas l'air chaud accumulé au plafond
Avec le temps et la patience, la feuille de murier devient soie
Le souci de bowish est de se chauffer a partir d'une cheminée avec seul insert qui puisse y rentrer, en ayant evitant les inconvenients de la convection et en ayant pas trop de rayonnement devant ce seul point chaud.
Il y a plus d'equations que d'inconnues, et il va falloir faire des compromis.
Le ventilateur de plafond, je n'y crois pas un instant car l'effet de refroidissement sera général et pas seulement face au rayonnement.
Les vendeurs de systemes de chauffage complexes insistent beaucoup sur les souci de la convection: effet de courant d'air, accumulation de la chaleur au plafond. Pourtant, peu de gens se plaignent de leur convecteur electrique ou de leur radiateur a eau...
Il ne faut donc pas se traumatiser outre mesure.
Bien sur, n'allez pas coller un canapé en skaï a quelque centimetres de votre insert.
Quelles sont les autres possibilités de chauffage de la piece ?
Il y a plus d'equations que d'inconnues, et il va falloir faire des compromis.
Le ventilateur de plafond, je n'y crois pas un instant car l'effet de refroidissement sera général et pas seulement face au rayonnement.
Les vendeurs de systemes de chauffage complexes insistent beaucoup sur les souci de la convection: effet de courant d'air, accumulation de la chaleur au plafond. Pourtant, peu de gens se plaignent de leur convecteur electrique ou de leur radiateur a eau...
Il ne faut donc pas se traumatiser outre mesure.
Bien sur, n'allez pas coller un canapé en skaï a quelque centimetres de votre insert.
Quelles sont les autres possibilités de chauffage de la piece ?
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chauffage au bois
on se rejoint encore ms83, d'autant qu'il s'agit d'une pièce de seulemennt 30 m2
on a cette sensation de différence de température quand la calorifère marche à fond.....
avec un poêle à bois le plus efficace est de le maintenir chargé en continu sans provoquer de coups de chauffe
je sais bien que cela veut aussi dire qu'il y a quelqu'un qui est la en permanence pour le charger
A titre de comparaison, chez ma fille la pièce du rez de chaussée fait 12 X 6 = 72 m2 avec un poêle Alsacien situé au tiers de la longueur - dans cette grande pièce on a une température assez uniforme sans ventilateur
mais le plafond est assez bas (2.10 m) et l'hiver toutes les 2 heures je vais recharger le poêle.....pour la nuit des gros quartiers de chêne sont prévus......ils tiennent 8 - 9 heures ........tous les tirages étant réduits au minimum
on a cette sensation de différence de température quand la calorifère marche à fond.....
avec un poêle à bois le plus efficace est de le maintenir chargé en continu sans provoquer de coups de chauffe
je sais bien que cela veut aussi dire qu'il y a quelqu'un qui est la en permanence pour le charger
A titre de comparaison, chez ma fille la pièce du rez de chaussée fait 12 X 6 = 72 m2 avec un poêle Alsacien situé au tiers de la longueur - dans cette grande pièce on a une température assez uniforme sans ventilateur
mais le plafond est assez bas (2.10 m) et l'hiver toutes les 2 heures je vais recharger le poêle.....pour la nuit des gros quartiers de chêne sont prévus......ils tiennent 8 - 9 heures ........tous les tirages étant réduits au minimum
Avec le temps et la patience, la feuille de murier devient soie
Je vois que mon topic requiert un peu d'attention et j'en suis ravi. Toutes les opinions, même contradictoires sont les bienvenues.
Je tiens à préciser que je n'ai pas de problème de chauffage dans ma maison. J'ai un chauffage au gaz de ville qui fonctionne très bien avec des radiateur en fonte qui ont une très bonne inertie.
J'ai simplement envie de satisfaire mon envie du feu. Mais ma cheminée est rendue inutilisable par une isolation qui a rendu ma pièce trop hermétique. Le résultat est une cheminée qui fume en permanence.
Quitte à utiliser du feu, sans chauffer uniquement les moineaux
l'idée du poêle à bois m'est venue parce qu'elle rentre dans mon budget sans avoir à me lancer dans des travaux trop importants. Une simple bouche d'aération suffira dans un premier temps.
Même l'insert n'est pas envisageable parce qu'il impliquerait de "casser" la hotte et le linteau (62 cm de l'âtre) et je ne souhaite pas me lancer dans des travaux aussi conséquent.
le petit Vosges de chez Supra mesure 580mm de haut et entre donc dans mon foyer. L'installateur m'a simplement ordonné de rajouter une arrivée d'air à proximité du poêle pour la combustion et le monoxyde. Normal quoi!
Je pourrais parfaitement me contenter de çà mais j'ai peur effectivement que le poêle chauffe trop (c'est quand même un comble de n'être jamais content mais que voulez vous...
)
C'est alors que mon esprit enfiévré s'empare de l'idée du ventilateur de plafond. Non pas forcément pour rabattre la chaleur accumulée au plafond mais pour diminuer la sensation de chaleur à proximité du poêle en "uniformisant" la température dans la pièce.
Mais peut-être est ce une idée saugrenue. Peut-être le jeu n'en vaut pas la chandelle...A moins que ce ne soit une idée de génie.
Après tout, je peux bien faire installer mon poêle, attendre l'hiver et voir ce que çà donne. Si l'envie m'en prend, je pourrai toujours tenter d'installer un ventilo par la suite, quitte à ne pas m'en servir s 'il n'a pas d'efficacité. Il pourra toujours me rafraîchir en plein été
Vos remarques sont les bienvenues.
Je tiens à préciser que je n'ai pas de problème de chauffage dans ma maison. J'ai un chauffage au gaz de ville qui fonctionne très bien avec des radiateur en fonte qui ont une très bonne inertie.
J'ai simplement envie de satisfaire mon envie du feu. Mais ma cheminée est rendue inutilisable par une isolation qui a rendu ma pièce trop hermétique. Le résultat est une cheminée qui fume en permanence.
Quitte à utiliser du feu, sans chauffer uniquement les moineaux

Même l'insert n'est pas envisageable parce qu'il impliquerait de "casser" la hotte et le linteau (62 cm de l'âtre) et je ne souhaite pas me lancer dans des travaux aussi conséquent.
le petit Vosges de chez Supra mesure 580mm de haut et entre donc dans mon foyer. L'installateur m'a simplement ordonné de rajouter une arrivée d'air à proximité du poêle pour la combustion et le monoxyde. Normal quoi!
Je pourrais parfaitement me contenter de çà mais j'ai peur effectivement que le poêle chauffe trop (c'est quand même un comble de n'être jamais content mais que voulez vous...

C'est alors que mon esprit enfiévré s'empare de l'idée du ventilateur de plafond. Non pas forcément pour rabattre la chaleur accumulée au plafond mais pour diminuer la sensation de chaleur à proximité du poêle en "uniformisant" la température dans la pièce.
Mais peut-être est ce une idée saugrenue. Peut-être le jeu n'en vaut pas la chandelle...A moins que ce ne soit une idée de génie.
Après tout, je peux bien faire installer mon poêle, attendre l'hiver et voir ce que çà donne. Si l'envie m'en prend, je pourrai toujours tenter d'installer un ventilo par la suite, quitte à ne pas m'en servir s 'il n'a pas d'efficacité. Il pourra toujours me rafraîchir en plein été

Vos remarques sont les bienvenues.
"Le presbytère n'a rien perdu de son charme ni le jardin de son éclat." Gaston LEROUX
Bonjour à tous,
Mon poêle à bois est installé depuis hier. Travail propre et sérieux avec un installateur qui a refusé tout compromis: respect des distances, aération etc...
Suite à ma réflexion sur les performances du poêle et à la circulation de l'air devinez ce qu'il m'a conseillé...
"Un ventilateur de plafond réversible permettra de brasser l'air pour avoir une circulation plus homogène".
Mon poêle à bois est installé depuis hier. Travail propre et sérieux avec un installateur qui a refusé tout compromis: respect des distances, aération etc...
Suite à ma réflexion sur les performances du poêle et à la circulation de l'air devinez ce qu'il m'a conseillé...
"Un ventilateur de plafond réversible permettra de brasser l'air pour avoir une circulation plus homogène".
"Le presbytère n'a rien perdu de son charme ni le jardin de son éclat." Gaston LEROUX